Revue Bonbek tome 6 an 3000
♥ ♥ ♥
La revue pour enfants qui rend jaloux les parents...
Présentation :
Bonbek, la revue pour enfants qui rend jaloux les parents.
Des histoires pas gnagnans, des jeux marrants,
des ateliers créatifs géants pour les enfants
de 5 à 10 ans…. et leurs parents.
Pour lire, rire, jouer, cuisiner, danser, rêver,
inventer, créer…en famille.
Le tome 6 :
Un numéro An 3000 !
Pourquoi ? Mais, parce que «ils» débarquent, «ils» reviennent... Qui ? Les enfants de 2999 et leur imagination débooordante (petite histoire) ; le vaisseau autocollant, là, au pied du lit de vos chérubins (Coller-décoller) ; id#445691735 depuis sa planète propre, après les «schwimp», «wuuuuuppp» puis «glourps !» de sa capsule intergalactique (grande histoire) ; Padmé et Dark Vador sur la musique de Star Wars (Choré) ; Pistache du 3ème type et Guimauvator, directement dans vos cuisines (À table !) ; les robots, tous les robots, en bataille (Cartes à jouer) ! ! ! ! Des (pré)visions signées Christophe Merlin, Laurent Bazart, Mark Verhaagen, Seb Niark..,
À lire, à regarder... pour être prêt.
L’équipe :
Sophie Cleyet-Marrel, Directrice de publication, et ex-productrice, journaliste et réalisatrice TV ;
Mari Pietarinen, Directrice Artistique pour la presse (Technikart Chine, WAD...) ;
Jérôme Berger, Rédacteur en chef et toujours chroniqueur gastronomique.
Mon avis :
Cette revue est destinée aux enfants de 5 à 10 ans ce qui permet de toucher un éventail assez large d'enfants. Chacun y trouvera son compte entre les chorégraphies délirantes à la starwars, des coloriages qui permettent d'occuper les enfants pendant des heures -véridique, ma fille y a passé sa soirée hier soir et elle n'a colorié qu'un quart du dessin...-, des jeux de cartes à découper, des recettes de cuisine originales, des bandes dessinées incontournables à cet âge... Toutes ces activités sont regroupées autour d'un thème, pour ce tome-là l'an 3000, pour permettre à l'enfant de se projeter dans le futur et de développer son imagination foisonnante...
D’autres avis :
Merci à Gilles Paris.