Barry Lindon de William THACKERAY

Publié le par Hélène

L'histoire s'inspire d'un personnage ayant réellement existé : l'aventurier irlandais Andrew Robinson Stoney. Au coeur du XVIIIème siècle, nous suivons les aventures de ce héros picaresque sans scrupules, prêt à tout pour bafouer ses pairs. Sa trajectoire commence en Irlande qu'il est contraint de fuir après un duel, persuadé que son adversaire est mort. Il s'engage alors dans l'armée anglaise et participe à la guerre de Sept ans avant d'être capturé par les troupes prussiennes qui lui confient une mission délicate...

Ce que j'ai moins aimé :

- Il est difficile de s'identifier ou d'aimer le personnage principal, opportuniste sans aucune morale.

Bilan :

J'ai fini par m'ennuyer ! Il parait que l'adaptation de Kubrick est bien meilleure, tournez vous plutôt de ce côté !

L'occasion de vous dire que cette année sera celle des 10 ans du mois anglais organisé par Titine, Lou  et Cryssilda et qu'elles ont donc décidé de transformer ce mois anglais en année anglaise.

Publié dans Littérature Europe

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A
Ah zut, j'avais presque espéré le coup de coeur. Je compte revenir à Thackeray prochainement, j'hésitais sur le titre mais je vais éviter celui-ci donc.
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D
j'avais fait une tentative de lecture mais je n'ai pas accroché du tout
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C
Bonjour,<br /> Il est évident qu'il faut être préparé(e) pour lire du Thackeray. Son Barry Lindon a dû être écrit dans les années 1840. L'histoire éternelle (il en est beaucoup d'autres) d'un arriviste dénué de tout scrupule. C'est une forme de chef d'oeuvre, mais brouillon et difficile pour les lecteurs actuels. J'ai abandonné "Vanity fairs" à force de ne plus savoir où l'on se situe dans l'histoire. Il est regrettable que tout comme "Le Guépard" il n'y ait pas eu de réinterprétentation de la traduction, qui a totalement changé la lecture sans trahir le roman pour autant. Bref Thackeray mériterait une traduction moderne, qui osera s'attaquer au monument ? Par contre comparer un roman et un film (Kubrick en l'occurence) lecture et image plus deux époques sans possibilité de superposition de celles-ci est peut-être un grand raccourci. Le film de Kubrick il est vrai est un chef-d'oeuvre cinématographique. Images et bande son somptueux; dans lequel par contre on aurait presque de la tendresse pour le héros. <br /> Catherine.
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L
Donc je vais oublier ce titre. Merci.
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