La bien-aimée de Thomas HARDY
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Jocelyn Pierston est un sculpteur de talent originaire de l’île de Portland, dans le Dorset. Il tombe régulièrement amoureux, à la recherche de la femme parfaite, celle qui serait "le réceptacle éphémère d'un type idéal" et qu'il surnomme "la bien-aimée". Elle n’est pas une personne réelle, mais un idéal changeant, une muse spirituelle qu’il projette sur différentes femmes au fil du temps, ce qui le condamne à une insatisfaction perpétuelle.
Ce que j'ai aimé :
Hardy explore la tension entre l’amour idéalisé, qu'il s'agisse de la muse ou de l’inspiration artistique, et l’amour réel, concret. Prisonnier d'une quête impossible, Jocelyn condamne les femmes à qui il s'attache à une souffrance inexorable. Il aime finalement l’idée de l’amour plus que l’amour lui-même.
Ce que j'ai moins aimé :
L'aspect un peu répétitif peut être lassant.
Bilan :
Un roman méconnu de Thomas Hardy qui mérite d'être remis en avant ! Il se distingue des autres œuvres de Thomas Hardy en se focalisant sur les thèmes de l'idéalisation et de l'art.
Présentation de l'éditeur : Archi poche
Du même auteur : Les forestiers ♥ ♥ ♥ ; Loin de la foule déchaînée ♥ ♥ ; Une femme d'imagination et autres contes ♥ ♥ ♥ ; Sous la verte feuillée ♥ ♥ ♥
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