Déceptions et abandons de 2010

Publié le par Hélène

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Paradis conjugal de Alice FERNEY

 

Un roman qui reprend le célèbre film de MANKIEWICZ "Chaînes conjugales" scène par scène, avec quelques incursions dans la vie sentimentale de la spectatrice. Sans grand intérêt à mes yeux.

Allez plutôt voir le film...  

 

  

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Rencontre sous X de Didier VAN CAUWELAERT

 

La rencontre entre une star du X et un joueur de foot professionnel.

Que dire ? Facile, sans profondeur, aux allures de romans-photos.

Passez votre chemin...    

 

 

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Bonjour Anne de Pierrette FLEUTIAUX

 

Un beau portrait d'Anne PHILIPPE mais qui ne m'a absolument pas touchée.

brocante-nakano.jpgLa brocante Nakano de Hiromi KAWAKAMI

 

Une déception, pourtant, du même auteur j’avais adoré Les années douces.

Ce roman décrit le petit monde qui gravite autour de la brocante de M. Nakano, il ne se passe rien de particulier, mais je n’ai pas retrouvé la magie du quotidien à laquelle je tiens tant. Dommage.

  

albergAlberg de Jacques TALLOTE

 

Un roman étrange, très étrange, auquel je n’ai pas adhéré.

Il raconte l’histoire d’un homme qui vit sur les traces de cet Alberg, disparu en Argentine a priori.

 

 

elle par bonheur et tjrs nueElle par bonheur et toujours nue de Guy GOFFETTE

 

Un roman qui a du charme, sur le peintre Pierre Bonnard et sa femme Marthe. Il lui a manqué un petit quelque chose pour avoir droit à son billet, une impulsion infime…

  

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Le quai de Ouistreham de Florence AUBENAS

 

Il s’agit ici d’un témoignage de Florence Aubenas, journaliste, qui s’est faite passée pour une femme de ménage à la recherche d’un CDI pendant plusieurs mois. Trop peu littéraire pour moi.  C’est un livre touchant quoique assez déprimant quand on n’est pas soi-même en CDI…

 

 

face-a-face.jpgFace à face de Jacques DRILLON (non fini)

 

Là, je plaide en ma défaveur, tout est de ma faute : je suis incapable de lire un récit quand un des protagonistes va mourir dans d’atroces souffrances ce qui va faire souffrir son entourage pendant de nombreuses pages.

Jacques Drillon évoque ici son beau-fils et parle avec beaucoup de subtilité de leur relation, mais en filigrane, dans chaque page, dans chaque mot, est contenue la fin, le cancer, la mort. Je n’ai pas pu…

Pour les mêmes raisons, j’ai été dérangée par Lily et Braine de Christian GAILLY et D’autres vies que la mienne d’Emmanuel CARRERE, même si ceux-là, je les ai finis.

Mea culpa…

   

 

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Le portrait de Pierre ASSOULINE (non fini)

Un roman sur la baronne de Rotschild. Trop historique et trop religieux à mon goût.

 

 

 jm-erre-serie-z-L-4Série Z de Jean-Marcel ERRE :

 

« Roman décalé », « Humour déjanté » dit la quatrième de couverture.

Effectivement, mais je n’ai pas du tout adhéré à ce type d’humour. Rendez-vous manqué, et pourtant ce petit livre a un succès fou dans la blogosphère littéraire.

 

 

Merci à Marie pour le prêt.

 

Morceau choisi :

 

« Il vivait cette douloureuse sensation d’incertitude intestinale qui vous fait prendre conscience que l’homme est d’abord un amas d’organes, n’en déplaise à Merleau Ponty (nous parlons à ceux qui ont fait moins de 80% d’impasses au bac philo, pour les autres, disons que Félix [le héros du roman] faisait caca mou. » (p.93)

 

bamako climax

Bamako Climax de Elizabeth TCHOUNGUI

 

Céleste, jeune métisse belle et intelligente laisse osciller son coeur entre  Elliott, antillais tentant de creuser sa place dans les arcanes du pouvoir, et Elio, bel italien blanc.

Je me suis ennuyée en lisant ce roman, raison pour laquelle je ne lui consacre pas plus que quelques lignes... Je n'ai trouvé aucun intérêt au triangle amoureux, les quelques remarques sur la couleur de peau m'ont semblé banales, l'intrigue ne m'a pas captivée (même si Céleste disparaît soudainement en Afrique), bref, j'ai lu ce roman en diagonale.

Alex est un peu plus indulgente que moi...

 

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Salaam London de Tarquin HALL

  

L'histoire : Après avoir voyagé en tant que journaliste plusieurs années dans le monde entier, Tarquin Hall rentre à Londres. Sans ressources, il s'installe dans l'East End, le Londres des bas-fonds. Il nous décrit avec humour les personnages cocasses qui peuplent ce quartier désoeuvré.

 

Ce que je n'ai pas aimé : Trop documentaire à mon goût. Tarquin Hall décrit avec force détails cette société de l'East End, s'appuyant également sur des données historiques, et laissant de côté toute autre intrigue qui aurait peut-être pu aiguiser ma curiosité. Je dois avouer avoir lâchement abandonné cette lecture qui ravira sans doute les amateurs de documentaires journalistiques, ou ceux qui connaissent bien Londres, mais qui ne m'a guère convaincue...

J'avais nettement préféré du même auteur "Vers le cimetière des éléphants".

 

Salaam London, Tarquin HALL, Folio, mai 2010, 477 p., 7.70 euros

 

Merci à Lise CHASTELOUX de m'avoir permis de me faire une idée sur ce roman.

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