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Quelques jours Off

Publié le par Hélène

Retour le dimanche 23 !

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Forum Fnac Livres 2016

Publié le par Hélène

Dans le cadre du Forum Fnac Livres organisé pour la première année j'ai eu la chance d'assister à : 
Déjeuner avec Gaël Faye entre blogueurs :

Organisé par la Fnac et mené d'une main de maître par Julie Henry, ce déjeuner en petit comité nous a permis de rencontrer le lauréat du prix Roman Fnac, récompensé pour son roman Petit Pays. 

@http://www.majicmiju-photos.com/artists

Un homme profondément humain qui nous a raconté comment l'écriture a pu le sauver le jour où il a dû fuir son pays aux prises avec une guerre sanguinaire. Depuis, il a écrit des chansons, du rap, et s'est illustré sans ce domaine d'abord aux côtés du groupe Milk Cofee and Sugar, puis en solo avec son album Pili Pili sur un croissant au beurre.

Puis, ce roman, comme une évidence, qu'il doit à son éditrice de chez Grasset. Une éditrice qui lui a fait tout de suite confiance. Ce roman dans lequel il a voulu chanter son pays, le Burundi :

« J’ai écrit ce roman pour faire surgir un monde oublié, pour dire nos instants joyeux, discrets comme des filles de bonnes familles: le parfum de citronnelle dans les rues, les promenades le soir le long des bougainvilliers, les siestes l’après-midi derrière les moustiquaires trouées, les conversations futiles, assis sur un casier de bières, les termites les jours d’orages… J’ai écrit ce roman pour crier à l’univers que nous avons existé, avec nos vies simples, notre train-train, notre ennui, que nous avions des bonheurs qui ne cherchaient qu’à le rester avant d’être expédiés aux quatre coins du monde et de devenir une bande d’exilés, de réfugiés, d’immigrés, de migrants. »

A travers son personnage Gabriel, Gaël Faye raconte son chemin, son exil, son arrivée en France, son déracinement. Il y a  un an il s'est installé au Rwanda avec sa femme et ses deux filles, comme un retour aux sources, pour mieux connaître ce pays, autrement qu'au travers du prisme de la guerre. Il évoque avec tendresse ce Rwanda sur lequel chaque homme croisé pourrait être un roman à lui tout seul. 

Un grand homme profondément humain ... 

A lire sur son parcours Le Figaro , et à voir, ce documentaire de France ô : 

Balade littéraire en bus des années 30 avec Olivier Bourdeaut auteur du magnifique

En Attendant Bojangles

Le bus à lui tout seul vaut le détour, pétaradant, explosant et sentant bon l'essence fraîche...

Olivier Bourdeaut est étonnant, atypique, presque surpris par son succès, lui qui semblait avoir si peu confiance en ses écrits. Il faut dire qu'auparavant ses brèves carrières ne furent guère constructives : "Durant dix ans il travailla dans l’immobilier allant de fiascos en échecs avec un enthousiasme constant. Puis, pendant deux ans, il devint responsable d’une agence d’experts en plomb, responsable d’une assistante plus diplômée que lui et responsable de chasseurs de termites, mais les insectes achevèrent de ronger sa responsabilité. Il fut aussi ouvreur de robinets dans un hôpital, factotum dans une maison d’édition de livres scolaires – un comble – et cueilleur de fleur de sel de Guérande au Croisic, entre autres." (présentation Finitudes)

Il écrit En attendant Bojangles à l'été 2014, au fil de la plume en sept semaines acculé par son banquier. Auparavant il s'était déjà essayé à l'écriture, acculé par son frère cette fois, mais ce premier roman beaucoup plus sombre n'a jamais trouvé son éditeur...

@télérama

Il écrit actuellement un deuxième roman qui devrait sortir en janvier 2018 puis il s'arrêtera. Ce roman devrait s'inspirer de son expérience de cueilleur de fleur de sel au Croisic.

Un auteur très simple qui ne croit toujours pas à son succès...

A lire sur son parcours : L'express

Bel espace où déambuler, à taille humaine. De nombreux auteurs emblématiques de la rentrée littéraire, des signatures, des rencontres et tout cela gratuitement, ce qui laisse aussi la possibilité de rentrer et sortir du lieu comme on l'entend... Un rendez-vous beaucoup plus convivial que le salon du livre à nos yeux ! 

Côté librairie, étaient proposés les livres de la rentrée littéraire. Je suis restée raisonnable je suis repartie avec "Apprendre à vivre" de Edgar Morin, qui me semble être une base pour l'éducation, et "En attendant Bojangles" pour l'offrir.

En tant que blogueurs nous avons été accueillis comme des rois par l'équipe de la Fnac, Julie Henry en tête. Nous avions l'opportunité de rencontrer de nombreux auteurs, de déjeuner ou prendre un café avec eux, même à l'improviste, de se balader dans le bus avec eux...

Ce fut comme toujours un plaisir de croiser les blogueurs présents : Leiloona, Audrey, Noukette et Jérôme, Caroline, Stephie, Keisha, Séverine, entre autres.

 

Un beau rendez-vous littéraire que l'on aura plaisir à retrouver l'an prochain !!

 

Merci encore aux équipes : l'agence Anne et Arnaud, et les filles de la Fnac Julie, toujours disponible pour nous, Marine et Stéphanie.

 

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Forum Fnac Livres

Publié le par Hélène

Du 2 au 4 septembre 2016, la Fnac organise la première édition du Forum Fnac Livres, un rendez-vous auquel seront présents plus de cent écrivains incontournables et des figures de la rentrée littéraire 2016.

Cet évènement entièrement gratuit et ouvert à tous se déroulera au carreau du Temple à Paris.

Au programme rencontres, débats, dialogues croisés, questionnaires mystère et séances de dédicaces. En parallèle, quatre balades littéraires à bord d'un bus des années 30, seront organisées samedi 3 septembre aux côtés de Olivier Bourdeaut, Sorj Chalandon, Timothée de Fombelle, ou encore Benoît Duteurtre...

Le programme complet est disponible ici : forumfnaclivres.com

A noter que les 6 finalistes du roman Fnac sont aussi dévoilés, il s'agit de :

Désorientale, NegarDjavadi, éd. LianaLevi
Petit pays, Gaël Faye, éd. Grasset
Le bal mécanique, Yannick Grannec, éd. Anne Carrière
Au commencement du 7e jour, Luc Lang, éd. Stock
L’archipel d'une autre vie, Andrei Makine, éd. Seuil
Continuer, Laurent Mauvignier, éd. de Minuit

Le prix sera remis jeudi 1er septembre lors de la soirée d'inauguration.

 

Forum

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Vacances

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Vacances

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Vacances !

Publié le par Hélène

Je pars rattraper le temps perdu !

Retour le 11 !

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Mon mois anglais

Publié le par Hélène

Pour la deuxième année je participe au mois anglais organisé par CryssildaTitine et Lou

L'an dernier j'avais fait de belles découvertes :

Thomas Hardy avec Les forestiers et Loin de la foule déchaînée ;  Agnès Grey de Anne Brontë ; Daphné Du Maurier Mary Ann, et j'avais eu deux coups de coeur :

Jack Rosenblum rêve en anglais de Natasha Solomons et L'été solitaire de Elizabeth Von Arnim

 

Côté policier j'avais lu Lignes de fuite de John Harvey ; Un assassinat de qualité de Ann Granger ; Le visage de l'ennemi de Elizabeth Georges.

 

Voici mon programme de cette année, programme totalement utopique je préfère vous prévenir :

1er juin : David Lodge La chute du British Museum, dans le cadre du Blogoclub pour un roman qui se passe à Londres, lecture commune avec Electra

3 juin : L'amour dans un climat froid de Nancy Mittford pour "Vieilles dames indignes"

9 juin : Un mois à la campagne de Carr ou Tess d'Uberville de Hardy (si j'ai le temps de le lire pour cette date) pour "Campagne anglaise"...

15 juin : Nord Sud de Gaskell ou un roman de Dickens pour "Victoriens anglais"

21 juin : Les filles de Hallow Farms de Angela Huth

28 juin : un roman de Agatha Christie, pas encore choisi. LC aussi avec Electra

 

J'ai aussi La couleur des rêves de Rose Tremain et L'excellence de nos aînés de Ivy Compton Burnett que j'aimerais caser...

Rendez-vous le 1er juin...

 

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Pause

Publié le par Hélène

@tourisme Bretagne

Je vous quitte quelques jours pour me ressourcer au grand air breton !

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Vacances

Publié le par Hélène

Vacances

Je pars batifoler dans les prés normands..

Je reviens en ces pages le 28

pour une lecture commune avec Electra autour de Lagos Lady

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Quelques remarques sur Babélio et les services de presse

Publié le par Hélène

Je reviens sur mes propos concernant la rencontre organisée par Babélio avec Caryl Fere. Je disais à ce sujet :

 

"Par contre j'ai un réel problème avec le principe de ces rencontres. Je m'explique : nous avons été une trentaine de lecteurs de Babélio à être invités à cette rencontre,  Quand je suis allée voir les avis sur le site avant la rencontre, j'ai été assez surprise de trouver tant d'avis dithyrambiques ! Sur 15 notes le roman obtient la moyenne de 3.92. Sur 22 critiques, j'ai lu 2 critiques négatives. Et les 8 critiques qui mentionnent le fait d'avoir reçu le livre par Babélio et avoir été invité à la rencontre sont toutes positives. Suis-je mauvaise langue ?

J'ai fait le test, j'ai rencontré sur place une des lectrices qui m'a dit ne pas avoir vraiment aimé le roman. Quand je lui ai demandé si elle avait fait une critique négative elle m'a répondu "Non, j'ai joué le jeu". Quel jeu demandai-je innocemment ? "Eh bien une fois j'ai fait une critique négative après avoir rencontré un auteur en disant que cet homme était désagréable, j'ai été mise au purgatoire pendant un certain temps, privée de rencontres et de livres en service de presse. Maintenant, j'évite, car Babélio me permet de faire de superbes rencontres, comme par exemple celle de Chimamanda Ngozi Adichie."

Ceci se passe de commentaires !

J'ai rencontré aussi une lectrice qui semblait sincèrement enthousiaste après sa lecture de Condor, je ne fais pas une généralité, je constate seulement que l'honnêteté n'est pas forcément de mise... 

A bon entendeur..."

 

Suite à cela j'ai reçu un mail de Pierre Krause de Babélio :

 

"Bonjour Hélène, 

Je vous écris à propos de votre article de blog concernant la rencontre avec Cary Ferey. Je suis désolé que le livre ne vous ait pas plu...

Pour information et pour vous répondre sur l'organisation des rencontres : personne ne force qui que ce soit à publier une critique positive du roman ou même de la rencontre. Avez-vous eu vous même un message de notre part à ce propos ? Une indication quant à votre critique ou votre comportement pendant la rencontre ? Si vous aviez des choses à dire à l'auteur, vous en aviez d'ailleurs tout à fait l'occasion sans contrôle de notre part. 

Je ne sais pas qui était la lectrice en question mais il n'existe pas de purgatoire qui empêcherait, pendant un temps, l'accès à nos rencontres pour certains membres qui auraient publié des critiques négatives. Cela n'a jamais été le cas, que ce soit pour les rencontres ou les opérations de masse critique. Les lecteurs ont toujours été libres d'écrire quoi que ce soit tant que la critique est argumentée. 

La membre en question semble être venue deux fois au moins à nos rencontres. On essaie de faire tourner au maximum les participants, il n'est pas anormal qu'elle n'ait pas été sélectionnée pendant un certain temps pour d'autres rencontres. 

Pour aller plus loin, il n'est même pas obligatoire de poster de quelconque avis sur les livres reçus pour les rencontres. La seule "obligation" étant de venir à la rencontre quand on a été sélectionné. 

N'hésitez pas à me contacter si vous avez d'autres remarques ou questions.

A bientôt,

Pierre"

 

Je lui ai répondu en lui demandant si je pouvais diffuser sa réponse et en lui suggérant de préciser ce qu'il venait de dire quand il invitait des lecteurs à faire des critiques, pour lever toute ambiguïté.

 

Sa réponse : 

 

"Pour les opérations de Masse Critique, il est indiqué que les critiques sont libres : 

"- Veillez à étayer votre propos : que le livre vous ait plu ou pas, évitez les avis dithyrambiques en deux lignes ou les attaques non justifiées [...]

- Critiquez le fond ou la forme, le travail de l'auteur ou de l'éditeur, le style ou la construction, le dessin ou le scénario...comme bon vous semblera"

Nous le précisons pas pour les rencontres car l'important n'est là pas la critique mais la rencontre mais effectivement, peut-être pourrions nous en dire quelques mots. "

 

C'est effectivement l'impression que j'avais pu avoir auparavant, je me suis toujours sentie libre de donner sincèrement mon avis chez Babélio, tout comme je me sens libre en recevant des services de presse de faire de même. De nombreuses maisons d'édition me font confiance, je ne ressens aucune pression de leur part, et je ne suis jamais placée au "purgatoire" si je fais une critique négative. 

 

Il semble donc que la pression que ressentent certains blogueurs et lecteurs à s'imaginer qu'il faut à tout prix dire du bien d'un livre ne vient que d'eux. 

 

A bon entendeur...

 

 

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Rencontre Babélio avec Caryl Ferey

Publié le par Hélène

Je l'avoue en préambule, si cette rencontre n'avait pas été programmée, je n'aurais pas terminé ma lecture laborieuse de Condor. Cette rencontre organisée par Babélio m'a permis cependant d'éclairer certaines de mes interrogations.

Voici certaines des questions-réponses

Est-ce un deuxième Mapuche ?

S'il n'est pas intéressé par les suites, il n'en reste pas moins que la matière qu'il avait collecté pour Mapuche était tellement dense qu'il lui fallait en faire un autre roman. 

Est-il un écrivain des causes perdues ?

Dans l'Histoire ce sont souvent les bons qui perdent et il avait envie de redonner la parole à ceux qui perdent. Son coeur va aux opprimés. Esteban -l'avocat des causes perdues- a été inspiré par des personnage réels rencontrés là-bas, des avocats qui défendaient les opprimés. Sous la plume de l'auteur, il est devenu un personnage "joyeux" car comme le pays est plombé, il fallait une touche plus légère.

Pourquoi une histoire d'amour ? (une de mes questions évidemment...)

Il est peu intéressé par les gens qui se contentent de se tirer dessus. N'aimant pas les armes il n'imagine pas un roman fait simplement de gens qui se tirent dessus. Une fois son fonds politique et social trouvé, aussitôt il se demande "quelle histoire d'amour ?". Ce qui l'intéresse quand il lit un roman n'est pas de savoir qui a tué mais est-ce que les protagonistes vont finir ensemble... C'est son côté fleur bleue... Parce que l'histoire d'amour interroge l'altérité. 

Quelle est l'origine des personnages ?

Tous existent ou ont été influencés par ses rencontres. Victor Jara, artiste, abattu en 1973. André Jarlan prêtre de l'action catholique ouvrière qui aidait les démunis et meurt en 1984 tué par balles.  Camilla Vallejo, député. Bien sûr les personnages sont passés sous le spectre romanesque. L'opération Condor existe également. 

Pourquoi certains personnages sont-ils bisexuels ?

Pour montrer que la bisexualité entre dans les moeurs et c'est une façon de dire que les jeunes d'aujourd'hui sont moins coincés que nous. Le seul espoir du Chili est cette jeunesse libérée. La seule génération qui n'a pas connu la dictature est celle de Camilla, des 20-30 ans qui manifestent en revendiquant l'héritage d'Allende. 

Et puis il est féministe, donc veut taper sur les mecs - cherchez le rapport...-

Pourquoi choisir le genre policier ? (ma question)

Parce qu'on peut tout mettre dans un roman noir et que le fait d'avoir envie de tourner les pages est quelque chose qui lui plaît. 

A-t-il été influencé par les westerns ?

Il a surtout été influencé par le cinéma américain des années 70, qu'il préfère au cinéma d'aujourd'hui qui ressemble à un clip dans lequel tout va vite, tout se zappe rapidement. Ce n'est pas réaliste. Dans la première scène de Bullit, 4 minutes sont consacrées au réveil du personnage joué par Steve McQueen, 4 minutes qui résument déjà le personnage. Il s'étoffe dans ces 4 minutes.

Que pense-t-il de l'adaptation de Zulu ?

Les scénaristes ont fait le choix de ne retenir que la partie thriller, choix assumé. Pour lui le résultat est assumé mais en France il faut toujours que les critiques ... critiquent !

Pour Mapuche les droits sont achetés, mais cela peut être long avant que l'adaptation ne voit le jour.

Quel sera le sujet de son prochain roman ?

Il est déjà commencé, il est lié à un ami commun qui a perdu un ami en mer. Le roman sera lié au monde des marins, un monde de chiens dans lequel personne n'est responsable quand un bateau coule. Depuis le problème des migrants a pris d'autres proportions dont il voudrait parler. Son personnage est McCash déjà rencontré dans de précédents romans. Et oui dans ce roman il y aura une histoire d'amour McCash retrouvera son ex femme. (ça c'était ma question...)

Est-ce que Condor est un livre militant ?

Pour lui ce n'est pas le rôle de l'écrivain de défendre une idéologie. Mais il veut donner la parole aux gens du pays qui représentent une classe sociale dans leur pays. Il s'intéresse ici aux revendications des étudiantes par exemple. 

 

Il n'y eut pas d'autres questions parce que Caryl était attendu juste après la rencontre qui n'a duré que 40 minutes de fait au lieu des 1h ou 1h30 annoncés initialement.

 

Mes réactions :

 

Je me suis évidemment hérissée à la réponse sur les histoires d'amour : je trouve terriblement réducteur de dire que un roman policier sans amour se résume à des passes d'armes. 

De même je me suis demandée pourquoi offrir des psychologies si lapidaires à ses propres personnages eux aussi soumis sux rebondissements multiples de l'intrigue. 

Quant au rôle de l'écrivain quant à ses idéologies, là encore, cela se discute...

Il n'en reste pas moins que j'ai trouvé Caryl Ferey sympathique, drôle et ouvert.

Par contre j'ai un réel problème avec le principe de ces rencontres. Je m'explique : nous avons été une trentaine de lecteurs de Babélio à être invités à cette rencontre,  Quand je suis allée voir les avis sur le site avant la rencontre, j'ai été assez surprise de trouver tant d'avis dithyrambiques ! Sur 15 notes le roman obtient la moyenne de 3.92. Sur 22 critiques, j'ai lu 2 critiques négatives. Et les 8 critiques qui mentionnent le fait d'avoir reçu le livre par Babélio et avoir été invité à la rencontre sont toutes positives. Suis-je mauvaise langue ?

J'ai fait le test, j'ai rencontré sur place une des lectrices qui m'a dit ne pas avoir vraiment aimé le roman. Quand je lui ai demandé si elle avait fait une critique négative elle m'a répondu "Non, j'ai joué le jeu". Quel jeu demandai-je innocemment ? "Eh bien une fois j'ai fait une critique négative après avoir rencontré un auteur en disant que cet homme était désagréable, j'ai été mise au purgatoire pendant un certain temps, privée de rencontres et de livres en service de presse. Maintenant, j'évite, car Babélio me permet de faire de superbes rencontres, comme par exemple celle de Chimamanda Ngozi Adichie."

Ceci se passe de commentaires !

J'ai rencontré aussi une lectrice qui semblait sincèrement enthousiaste après sa lecture de Condor, je ne fais pas une généralité, je constate seulement que l'honnêteté n'est pas forcément de mise... 

A bon entendeur...

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